Éditorial .p. 3
Encore une !
Vie de l’association .p. 4
Comme vous allez pouvoir le découvrir, ce quatrième trimestre fut un véritable tourbillon.
Découvertes .p. 7
Christophe d’Alègre assassine François de Montmorency de Hallot à Vernon.
Jean-Claude Viel nous raconte comment celui qui poignarda mortellement Montmorency-Hallot le 12 septembre 1592 en lui criant : « Monsieur, il faut mourir ! », parvint à se tirer d’affaire grâce à une scandaleuse amnistie. C’est une bien sombre histoire qui nous fait découvrir les arcanes policières du temps.
22 septembre 1894, le premier salon de découverte de l’automobile.
Grâce à Monsieur Lecœur, nous revivons un mini reportage du premier salon automobile d’Évreux et sans doute de l’Eure.
Dossier . p. 29
Une abbaye bénédictine à Évreux.
Un titre innocent pour parler des demoiselles de Saint-Sauveur! Nous sommes un peu loin de la devise des Bénédictins, « ora et labora » prie et travaille. C’est une enquête archéologique, architecturale, artistique et diplomatique qui nous est proposée ici par Maxime Blin. L’auteur nous dévoile et nous restitue, par le détail, les plus grands moments de l’histoire de ces Bénédictines, de la fondation du monastère à sa suppression au moment de la Révolution française puis sa destruction totale au début du XXe siècle . Vraiment nouveau comme approche et passionnant.
Témoignages .p. 48
Le grand frère givernoy de Casimir.
« Il fut un temps Eurois, ce qui lui vaut une rue à Pressagny-l’Orgueilleux, puisqu’il posséda de 1824 à 1839 le château de La Madeleine, sur la rive droite de la Seine. … Il convient de voir en lui un des écrivains majeurs de la première moitié du XIXe siècle, tant par sa poésie que par son théâtre ». C’est ainsi que Gérard Gengembre nous dépeint Germain Delavigne. Effectivement, son œuvre méritait bien cet hommage !
Une gloire euroise de la préciosité et du ballet de cour : Isaac de Benserade.
« Le 15 octobre 1612 naît à Lyons-la-Forêt Isaac de Benserade, l’un des plus importants poètes du XVIIe siècle, quelque peu et fort injustement oublié aujourd’hui ». La préciosité et la littérature galante du XVIIe siècle peuvent sembler d’un autre âge ; mais force est de constater que, comme le dit l’auteur, «Benserade mérite d’être lu et goûté ». Il caractérise, en effet, une époque où les femmes loin d’être des précieuses ridicules, tenant salon, elles y tenaient rang. Entre divertissement et jeux politiques, leur rôle dans cette société nous apparaît clairement. Et aujourd’hui ? La question ne se pose même pas.
Écho des conférences et visites .p. 52
Christine vous présente pour le premier semestre 2024 un nouveau programme. Il se veut varié et attrayant évidemment.
Vu et lu pour vous . p. 52
Christian Chabanel vous fait partager quelques moments de lecture pour voir ou revoir ce que vous avez pu aimer.