Éditorial .p. 3
Vie de l’association .p. 4
La revue, comment ça marche ?
Vous qui allez nous confier vos articles, savez-vous ce qu’on en fait ? Le comité de rédaction, le comité de lecture sont les fourmis qui transforment votre plume en un cadeau bien ficelé pour les lecteurs. C’est à découvrir.
Témoignages .p. 5
Une page de l’histoire d’Évreux est tournée !
L’hôpital Saint Louis a disparu sous les coups des pelleteuses. Qui se souviendra de cet ancien hospice construit sur l’ancien couvent des Jacobins ? Que cachait-on derrière ces murs, ces buanderies, ces potagers où les soeurs de Saint Vincent de Paul ont oeuvré jusqu’en 1908 ? Il fallait bien qu’on vous rapporte toute cette aventure. Solange Krnel et Gilles Leblond s’y sont bien employés…
La misère derrière les tours d’abandon,
Sous l’ancien Régime, abandonnés sous un porche d’église ou dans un lieu public, les enfants étaient souvent condamnés à une mort certaine. En 1638, Saint Vincent de Paul fait aménager le premier tour à Paris. Celui d’Évreux est toujours visible ! Janick Launey nous révèle cette histoire avec une certaine émotion et on la comprend.
Dossier .p. 11
Un dossier très spécial : Les Charitons une spécificité euroise ?
Voici bien une particularité du département de l’Eure qu’on croyait à l’agonie et qui, ayant franchi les siècles et résisté aux temps et aux mouvances sociales, politiques ou religieuses, poursuit une tradition ancestrale…
Mais, avait-on attendu la religion pour organiser l’entraide entre membres d’un groupe social ou les devoirs dus aux défunts ? Les confréries de charité sont-elles, dévotement, les filles de l’église ?
Découvertes .p. 47
De Crécy à Cocherel… en passant par Évreux !
Une des plus belles pages de notre histoire locale s’est écrite en quelques heures. Nicolas Arthaud remet en perspective cet évènement aux lourdes conséquences.
« La fondation de la confrérie de Saint-Éloy de Pullay (1774) ».
Dans le prolongement du dossier sur Verneuil-sur-Avre (notre n° 193) et en complément de notre dossier sur les « charitons », Nicolas Trotin nous fait découvrir, avec une grande richesse de détails, la fondation de cette confrérie appartenant au doyenné de Verneuil. il nous offre même une petite visite de l’église…
À table, c’est l’Eure .p. 55
« Banqueter en toutes circonstances ».
Élections municipales obligent et, c’est bien connu, nos édiles aiment la convivialité et la bonne chère. Francis Fargeau nous dévoile deux menus, l’un de plus de 22 000 convives et l’autre est un menu « homicide » servi à l’Élysée. Quel appétit !
Lu pour vous .p. 58
Patrice Guislin et Jean Pierre Raux nous proposent des idées de lectures et de sorties pour mieux apprécier notre région et ceux qui la font.