Parmi les nombreuses communications présentées, nous retiendrons plus particulièrement ces études concernant l’Eure :
• Bruno Nardeux, La forêt de Lyons au temps médiéval, l’enjeu géo-historique des limites.
• Anne Kucab, L’Epte, entre imaginaire et réalité : la place de la frontière franco-normande autour de Saint-Clair-sur-Epte et de Guerny au Moyen Âge.
• Jean Baboux, Franchissements sur la Seine grâce aux maîtres de ponts et aux maîtres de pertuis (ordonnance de Charles VI de février 1415).
• Jean Pouëssel, Le pont de Vernon : les aléas d’un franchissement (1650-1815).
• Jean-Philippe Henry, La Basse-Seine, un obstacle naturel sous-exploité face à l’offensive allemande de juin 1940.
• Benoît Cottereau, Un échec britannique lors du franchissement de la Seine, 27 août 1944, le 2nd battalion, the Gordon Highlanders à Vironvay (Eure).
• Nicolas Trotin, Reconstruire un diocèse à l’époque concordataire : l’exemple d’Évreux et de l’épiscopat de Mgr Bourlier sous le Premier Empire.
• Bernard Bodinier, Seigneurie et propriété dans l’Eure, un autre imbroglio territorial de l’Ancien Régime. Des paroisses aux communautés de communes, les limites communales dans l’Eure.
• Jean-Pierre Binet, La correspondance inédite d’un antiquaire normand venu de Bretagne [il s’agit de François Rever, fondateur de la Société libre de l’Eure].
• André Goudeau, Le vagabondage dans l’Eure au XIXe siècle.
Actes du 52e Congrès organisé par la Fédération des Sociétés historiques et archéologiques de Normandie (Vernon-Giverny, 18-21 octobre 2017).