L’accueil et le commentaire sont excellents, les thèmes abordés aussi riches que variés. Beau voyage dans le temps, à travers les occupations disparues de nos aïeux de l’Eure : au village, aux champs et aux bois, à la vigne, à la ferme, à la maison et même au bistrot… L’intérêt du musée est qu’il élargit l’horizon à d’autres régions et métiers de France, Savoie, Vosges, Landes et même à l’Allemagne du charbon (Hückelhoven jumelée à Breteuil). Cet été 2019, André Bourvil faisait l’objet d’une présentation traitant des souvenirs cinématographiques qu’il a laissés à la Vieille-Lyre et à Breteuil. À voir, de petits films documentaires qui complètent bien la visite (compter en tout deux heures) : ainsi deux courts-métrages de Georges Rouquier, le Tonnelier (1942) et le Charron (1944) sur une musique d’Henri Sauguet.